HtmlToText
le blog de serigne malick fall assalaamu aleykum !! ce qu’ils en pensent la bonne selon serigne babacar sy (rta) la société civile en questions nouveau départ qui est serigne malick ? deux enfants dans l’enfer syrien (lu dans http://tempsreel.nouvelobs.com/) 15 mars, 2013 | non classé | pas encore de commentaires . << badi’a et rawan : enfants et blessées de guerre les deux fillettes, blessées par des éclats de mortiers sur le chemin de l’école, se reconstruisent à zaatari… les deux cousines sont arrivées à quatre jours d’intervalle en ce mois d’octobre 2012. le camp de réfugiés de zaatari avait déjà commencé à s’étendre bien au-delà des prévisions onusiennes… la grande majorité des réfugiés syrie ns de jordanie vient du sud de la syrie. question de proximité géographique. badi’a, 10 ans, et rawan, 12 ans, ont toutes les deux été blessées par des éclats de mortiers, lors d’attaques distinctes, alors qu’elles quittaient leur école, à al kharya, près de deraa. les bombes n’épargnent pas les chemins de l’école. rawan est restée deux mois à l’hôpital militaire français qui est dans le camp. chaque jour, et plus souvent chaque nuit, sont amenés là des blessés du conflit qui se déroule à quelques kilomètres. et les affrontements entre pro et anti- bachar ne laissent pas sur le carreau que des hommes en arme. loin de là. rawan a dû subir pas moins de six opérations dont, il y a peu, une greffe de peau à sa jambe gauche. elle vit maintenant avec ses parents, ses deux sœurs et trois frères dans une tente siglée unhcr, comme environ 100.000 réfugiés ici. la timide semble maintenant en pleine forme. prête à rejoindre de nouveaux les bancs d’école. ici, à zaatari. pour badi’a, ce ne sera pas aussi simple. les éclats de mortiers lui ont sectionné le nerf sciatique de la jambe gauche et elle ne peut plus désormais marcher. elle attend une nouvelle opération, à l’hôpital islamique de amman cette fois, pour se voir confirmer si elle retrouvera un jour ou non l’usage de sa jambe… jusque-là, pas question d’école! en plus de ses déplacements compliqués en chaise roulante, le risque d’infection est trop grand… c’est cette blessure qui a amené toute la famille de badia’a vers zaatari. lorsqu’elle a été blessée, elle a été immédiatement prise en charge par un hôpital clandestin de l’als. mais les soins nécessaires étaient trop nombreux. il fallait la transférer. l’armée libre a alors fait partir toute la famille, mettant en place comme elle en a pris l’habitude, à la frontière, chaque nuit, une sorte de corridor de protection pour les familles en fuites. de l’autre côté, les soldats jordaniens attendent avec des cars pour réceptionner les trois à quatre milliers qui arrivent quotidiennement. badi’a va subir sa onzième opération. a quelques minutes de son départ d’amaman, elle a l’air serein et continue de taquiner les infirmiers français ou de chercher dans la poche de l’interprète le smart phone qu’il a l’habitude de lui prêter. tout le monde s’est attaché à la blondinette qui trouve rigolo de s’être fait des « amis français ». et puis, « il n’y a pas de risques ici » dit-elle. mais pour le père de badi’a, aucun doute: dès que sa fille sera guérie, ils repartiront. la maison est encore entière, même si un missile est tombé non loin. et il a deux magasins à reconstruire. avant ses blessures, badi’a la malicieuse voulait devenir docteur. et maintenant? « toujours oui! » répond-elle >>. céline lussato derniers commentaires annuairejuste commentaire sur anders behring breivik, un monstre isolé ? "pour faire face a ce fléau il faut construire des sociétés de partage avec un autre modèle économiq..." articles récents et maintenant au boulot mr obama ! 4 décembre, 2012 | non classé | pas encore de commentaires . quand, au grand dam des racistes d’amérique et d’europe, et à la surprise générale des africains, il a été élu pour un premier mandat à la tête des etats unis d’amérique, barack h. obama n’a pas manqué de susciter chez tous les progressistes, militants de la paix et simples naïfs de ce monde un optimisme vite perçu comme exagéré. en effet, le président obama a vite fait, par ses faits et gestes, de montrer à tous qu’il avait été élu pour, d’une part, faire face aux épineux problèmes socio-économiques des américains et, d’autre part, raffermir le rôle de 1er gendarme du monde que les usa ont bruyamment inauguré à la suite de l’écroulement du « camp socialiste ». faire plaisir aux américains en leur permettant de satisfaire leur besoin pantagruélique de consommation, d’une part et, d’autre part, cultiver chez eux le sentiment qu’ils dominent le monde. c’est là une exigence à laquelle aucun chef d’etat américain n’a jamais pu échapper. balloté entre les fameux lobbies (juif/sioniste et militaro-industriel pour ne citer que les plus anciens) qui gouvernent en réalité les etats unis, obama, fut-il africain, de gauche voire humaniste, ne pouvait point faire exception à la règle. de surcroît, dès lors qu’il s’est montré intéressé par un second mandat, il n’avait plus alors d’autre choix que de « jouer serré », de manœuvrer comme à la barre d’un bateau en pleine tempête, entre ses rêves et le cap indiqué contradictoirement par les uns et les autres. a présent que ce fameux second mandat est acquis, quel obama allons-nous découvrir ? y a-t-il des chances que mr president s’attaque sérieusement à éteindre les foyers de tension au lieu de les allumer ou de les entretenir ? en particulier, verra-t-on s’inaugurer une nouvelle attitude de l’administration américaine à l’égard des pyromanes de l’administration israélienne ? les dernières agressions de tsahal sur gaza et l’extension des colonies juives en cisjordanie vont-elles prospérer impunément comme par le passé ? ou bien allons-nous enfin assister à un coup d’arrêt pour aller vers de sérieuses négociations ? qui vivra verra ; personnellement, je reste sceptique. serigne malick voir article ci-dessous ==> « obama – netanyahou : dernier round » ________________________________________________________________________________________ lu dans jeune afrique << obama – netanyahou : dernier round torpillé par le premier ministre israélien benyamin netanyahou lors de son premier mandat, le président américain barack obama profitera-t-il de sa réélection pour revenir à la charge et convaincre tel-aviv de ne plus faire obstacle à la création d’un état palestinien viable ? fraîchement réélu, le président barack obama devrait maintenant chercher le moyen de contenir israël, de faire cesser et même reculer la colonisation en cisjordanie et, enfin, d’oeuvrer à la création d’un état palestinien. c’est ce qu’attendent de lui le monde arabo-musulman et tous les hommes de bonne volonté qui souhaitent la paix au moyen-orient. pourra-t-il y parvenir ? les obstacles sont colossaux. les états-unis sont eux-mêmes profondément divisés sur le sujet. l’islamophobie y est devenue endémique. de puissants lobbys, think-tanks, commentateurs et intérêts financiers vont certainement remuer ciel et terre s’ils sentent obama se démarquer, ne serait-ce que d’un petit pas, du consensus sur l’« inébranlable » alliance américano-israélienne. surtout, la chambre des représentants, dominée par les républicains, se situe majoritairement du côté israélien. or obama doit collaborer étroitement avec le congrès pour trouver des compromis sur les questions intérieures urgentes. dans ce contexte, serait-il bien avisé pour lui d’aborder le sujet hautement controversé de la crise israélo-palestinienne ? en israël, le likoud de benyamin netanyahou s’est allié avec israel beitenou, le parti nationaliste d’avigdor lieberman, pour la campagne des législatives de janvier prochain. tout gouvernement issu de cette coalition sera plus déterminé que jamais à se battre pour la constitution d’un « grand israël », tout en refusant aux palestiniens la perspective d’un état. alors que dépérit le camp de la paix dans l’état hébreu, les forces fanatiques y prospèrent, ras